Vingt-quatre heures sur vingt-quatre, pour votre seul plaisir, un couple de lesbiennes putatives est filmé dans son intimité. Enjoy !
(Via Big Picture)
mercredi 23 novembre 2005
Par FabriceD le mercredi 23 novembre 2005, 00:37 - Petits riens
Vingt-quatre heures sur vingt-quatre, pour votre seul plaisir, un couple de lesbiennes putatives est filmé dans son intimité. Enjoy !
(Via Big Picture)
lundi 21 novembre 2005
Par FabriceD le lundi 21 novembre 2005, 21:42 - Petits riens
La rame s'immobilise, toujours au même endroit - ce qui vous émerveille, chaque fois. Sur le quai, la foule se resserre ; derrière les portes, les passagers se pressent. Un instant suspendu, où rien ne se passe. Et les portes s'ouvrent. Vous pestez intérieurement contre le crétin qui ne s'écarte pas, vous résistez à la pression à la cruche qui pousse derrière vous, les passagers descendent. Tous jusqu'au dernier. C'est le signal, le troupeau s'ébroue, on monte dans la bétaillère. Vous retenez une seconde de plus la cruche derrière vous, le temps de laisser une vieille dame tremblottante. Enfin, c'est à vous.
C'est à cet instant qu'elle veut descendre.
Elle est en général une grande bourgeoise, toute sèche et toute filandreuse. Carré Hermès, jupe sous le genou, un camée broché sur son gilet de laine verte. Elle a baisé sept fois dans sa vie, eu huit enfants - Septime et Octave sont jumeaux. Elle vous toise de très haut, son regard vous dégage de son chemin, comment osez-vous même y être ? Elle veut descendre. Maintenant. Vous lui faites perdre son temps. Si vous ne vous écartez pas assez vite, si vous la frôlez, si elle devait vous bousculer, ce serait le scandale. Elle crierait au sauvageon, elle ameuterait la maréchaussée. Alors vous faites place. En la maudissant.
(Plus rarement, elle sera une vieille dame enjouée qui parlait l'instant d'avant avec une autre petite vieille mêmement décrépite. De leurs rhumatismes, ou du col du fémur d'une plus usée encore. Elles discutaient en riant de la vie qui s'enfuit et de la mort qui s'approche - ce sont des préoccupations qui font manquer les stations de métro. Elles se séparent en se posant la main sur l'avant-bras, toujours. Comme pour vérifier que l'autre n'était pas qu'un spectre. Et sortent en se dodinant, et en s'excusant, et en se retournant pour prolonger la rencontre, pour prolonger la vie. On s'écarte alors spontanément, avec respect, prestement. Pour ne pas gâcher de précieuses secondes.)
dimanche 20 novembre 2005
Par FabriceD le dimanche 20 novembre 2005, 23:31 - Omphalectomie
Par FabriceD le dimanche 20 novembre 2005, 23:14 - Petits riens
Le nom latin du tilleul, contrairement à ce que j'ai pensé ce soir en sortant le sachet de son petit emballage plastique, le nom latin du tilleul, qui est si bon en infusion le soir pour se remettre d'une longue journée ou d'un effort violent, le nom latin du tilleul, donc, n'est pas vertus apaisantes. J'y ai cru pourtant un instant.
jeudi 10 novembre 2005
Par FabriceD le jeudi 10 novembre 2005, 21:56 - Petits riens
jeudi 3 novembre 2005
Par FabriceD le jeudi 3 novembre 2005, 23:28 - Omphaloscopie
lundi 24 octobre 2005
Par FabriceD le lundi 24 octobre 2005, 22:52 - Pile de livres
mardi 18 octobre 2005
Par FabriceD le mardi 18 octobre 2005, 21:48 - Omphalectomie
vendredi 14 octobre 2005
Par FabriceD le vendredi 14 octobre 2005, 19:39 - Petits riens
jeudi 13 octobre 2005
Par FabriceD le jeudi 13 octobre 2005, 19:02 - Omphaloscopie
Par FabriceD le jeudi 13 octobre 2005, 13:50 - Petits riens
dimanche 9 octobre 2005
Par FabriceD le dimanche 9 octobre 2005, 15:10 - Omphalectomie
mercredi 5 octobre 2005
Par FabriceD le mercredi 5 octobre 2005, 21:31 - Petits riens
Par FabriceD le mercredi 5 octobre 2005, 20:21 - Doux délires
dimanche 2 octobre 2005
Par FabriceD le dimanche 2 octobre 2005, 11:22 - Polaroïds
samedi 1 octobre 2005
Par FabriceD le samedi 1 octobre 2005, 10:25 - Pile de livres
dimanche 25 septembre 2005
Par FabriceD le dimanche 25 septembre 2005, 15:03 - Accords et désaccords
mardi 20 septembre 2005
Par FabriceD le mardi 20 septembre 2005, 20:50 - Pile de livres
Par FabriceD le mardi 20 septembre 2005, 20:39 - Omphaloscopie
Ta barbe, on dirait la modélisation d'un champ de vecteurs... [Silence dubitatif] Tu sais, d'une équation différentielle.
lundi 19 septembre 2005
Par FabriceD le lundi 19 septembre 2005, 19:55 - Doux délires
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